Le centre de prévention contre les dérives sectaires liées à l’islam (CPDSI) a publié, jeudi 11 février, son premier et son dernier rapport d’activité réalisé sur une année pleine (lire notre encadré). Dans ce document d’une quarantaine de pages, sa directrice générale Dounia Bouzar explique, aux parents comme aux professionnels des 34 préfectures ayant saisi le CPDSI, sa méthode pour « briser l’embrigadement relationnel et idéologique qui fait basculer certains jeunes dans un engagement terroriste violent. »
Elle fait état des premiers indicateurs d’alerte identifié par sa structure pour diagnostiquer un processus de radicalisation : rupture amicale, scolaire, familiale ainsi qu’avec les loisirs, croyance en la fin du monde ou bien encore refus de toute trace d’alcool y compris dans les parfums, etc. A ce propos, le CPDSI rappelle notamment que « le simple fait de porter un vêtement couvrant (jilbab pour les femmes, kamis pour les hommes) ne définit pas la radicalisation de la ...
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