Après plusieurs reports, c’est finalement le 7 février à 15 h que le ministre de la Fonction publique, Emile Zuccarelli ouvrira, avec les 7 organisations syndicales représentatives de la fonction publique (CFTC, CFDT, CGC, CGT, FO, FSU et UNSA), les négociations en vue d’un accord-cadre sur la réduction du temps de travail dans les trois fonctions publiques. Pour le ministre l’exercice s’avèrera difficile, car il ne peut se contenter d’un accord qui ne soit pas signé par des organisations représentant une majorité des fonctionnaires. Ce qui implique qu’il obtienne l’accord non seulement du « groupe des quatre » (CGC, CFDT, CFTC et UNSA), mais aussi de FO, la FSU, voire la CGT. Les discussions risquent d’être particulièrement délicates sur la question des créations d’emplois, condition sine qua none d’un accord pour nombre de syndicats, mais dont le ministère de l’Economie et des finances, semble-t-il, ne veut pas entendre parler.
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