L’accord sur les structures de la petite enfance qui était intervenu à
mi-janvier entre la ville de Lyon et les syndicats ne semble plus d’actualité. L’accord prévoyait notamment de revenir à 519,5 postes et de créer des commissions de travail pour étudier une nouvelle organisation et le problème d’absentéisme. Or, lors de la première commission, les personnels ont été informés que l’effectif de référence serait maintenu à 499,5 postes. Evoquant une « trahison », les syndicats estiment que la confiance est « cassée ». Une assemblée générale des personnels est prévue début mars pour envisager la suite à donner.
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