Près d’un an après le naufrage de l’Erika, le Conseil économique et social estime, dans un projet d’avis, que « l’impact financier global de cette catastrophe dépasse ( ) très largement les plafonds d’indemnisation prévus par les conventions. » A moins que les tribunaux établissent des responsabilités et fixent des indemnisations supérieures, le CES considère que « c’est donc la collectivité publique dans son ensemble qui sera contrainte d’assumer l’essentiel des coûts ».
Environnement
Erika: l’estimation des coûts sous-évaluée selon le Conseil économique et social
Publié le 06/12/2000 • dans : France
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