La pastille verte, créée par la loi sur l’air de décembre 1996 pour identifier les véhicules thermiques les moins polluants, est aujourd’hui apposée sur 45 % des véhicules particuliers et cette part va croissant, du fait du renouvellement du parc. Entre les véhicules à pastille verte, ceux sélectionnés par leur plaque d’immatriculation (50 % du parc) et ceux bénéficiant de dérogations (5 %), c’est au total 80 % du parc de véhicules particuliers qui pourrait circuler les jours de pic de pollution, constate le Conseil national de l’air. L’organisme propose donc de créer un nouvel identifiant pour les seuls véhicules au gaz et électriques ou de s’en tenir au critère du numéro, pair ou impair, de la plaque d’immatriculation.
Laurence Madoui
Environnement
La pastille verte est-elle encore utile ?
Publié le 04/02/2002 • dans : France
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