Le projet de loi de modernisation de la fonction publique doit faire l’objet d’une communication en conseil des ministres le 17 mars. Plusieurs réunions entre le ministère et les syndicats ont permis d’aborder les différents points du texte. Sans les épuiser. Les discussions sur les institutions de la FPT notamment, devront se poursuivre. Les propositions présentées début janvier par le groupe de contact CNFPT/fédération des centres de gestion ne recueillent pas l’assentiment des syndicats de la FPT.
Ces propositions ne font pas non plus consensus parmi les associations d’élus. Le 10 mars, elles se sont à nouveau réunies autour d’André Rossinot, président du CNFPT et de Jacques-Alain Bénisti, président de la fédération des centres de gestion. Sans être farouchement opposées à l’établissement public national régulant les missions de gestion et de formation, les associations d’élus s’interrogent sur le fonctionnement d’un tel système et surtout, sur son financement. Une nouvelle réunion doit avoir lieu dans trois semaines, afin de préciser ces différents aspects.
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