Les fuselages avant et central du futur Airbus A380 ont quitté le port de Saint-Nazaire par bateau. Direction Pauillac, début avril, en Gironde, puis Toulouse, où l’avion doit être assemblé. « Tous les élus locaux se sont battus pour garder la Navale, et défendent tout autant l’industrie aéronautique, sans bataille de clochers » se félicite Christophe Priou, député-maire du Croisic. Les trois usines Airbus, l’une à Nantes, et deux à Saint-Nazaire, ont un fort impact économique sur la Loire-Atlantique.
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