Il y a un an, le 14 décembre 2024, Mayotte était balayée par le cyclone Chido, laissant dans la désolation ce territoire qui cumulait déjà un taux record de bidonvilles, de carence en eau, de services publics à la traîne.
Face à la catastrophe – 60 % du bâti de l’île a été endommagé ou détruit –, la réponse des pouvoirs publics a été forte, forcément insuffisante au regard des besoins préexistants. Manuel Valls, alors ministre des Outre-mer, annonçait, dès le 30 décembre, un plan d’urgence « Mayotte debout », contenant une série de mesures immédiates touchant au rétablissement des fluides, à la rentrée scolaire, à la santé…
- Mayotte : « Il faut d’abord répondre aux besoins vitaux avant d’envisager la reconstruction »
4 milliards d’investissements ...
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