« L’Ugap, c’est trop cher ». Que répondez-vous à cette critique récurrente ?
En matière de prix, les comparaisons biaisées sont aussi vieilles que le commerce lui-même ! J’invite à un peu de rigueur. Il faut voir si l’on compare les mêmes produits, les mêmes qualités et quantités, les mêmes conditions de livraison… Par ailleurs, nous avons un handicap en termes de visibilité car l’Ugap a pour pratique d’afficher des prix publics. Or, ceux-ci sont plus élevés que ceux que nous pratiquons en moyenne puisque 85 % de nos ventes sont réalisés selon des tarifs partenariaux.
Enfin, il est important de souligner qu’il n’y a pas que le prix qui compte dans la commande publique. Nous proposons une offre exigeante, avec un service après-vente, une fluidité dans les paiements… Tout cela a une certaine valeur. Notre modèle est compétitif. J’en veux pour preuve nos 8 % de progression d’activité en moyenne sur les collectivités depuis 2021.
- Les collectivités, des paniers percés, vraiment ?
À ce propos, certains acheteurs relèvent des difficultés lors de l’exécution des contrats, comme des retards de livraison…
Nous en sommes conscients, d’autant que lorsqu’une offre dysfonctionne, les ...
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