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Environnement

Les Robins de Bois dénoncent l’oubli de 80 sites de stockage sauvage des marées noires

Publié le 14/03/2008 • Par La Rédaction • dans : France

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Environ 80 sites de stockage provisoire de déchets des grandes marées noires survenues en France depuis une quarantaine d’années sont toujours en place, indique le 14 mars l’association écologiste Robin des Bois qui demande au gouvernement d’en faire l’inventaire et de les purger.
Les naufrages du Torrey Canyon (1967), du Boehlen (1976), de l’Olympic Bravery (1976), de l’Amoco Cadiz (1978), du Tanio (1980), ou encore de l’Amazzone (1988) ont généré environ 300.000 tonnes de déchets liquides ou pâteux souillés aux hydrocarbures, précise l’association dans un communiqué.
« La plupart de ces déchets (…) sont restés sur place et décorent le Finistère et les Côtes d’Armor d’un ruban noir soigneusement dissimulé », ajoute Robin des Bois.
« Les hydrocarbures mélangés avec du sable et des algues ont été enterrés dans des fosses en bout de plage, c’était censé être du provisoire », déclare Charlotte Nithart, porte-parole de l’association.
Des crédits de plus de 3 millions d’euros ont été débloqués en février 2000 par un Comité interministériel d’aménagement et de développement du territoire (Ciadt) afin d’en faire un inventaire complet, mettre en place une surveillance et procéder à des travaux de mise en sécurité, rappelle l’association. Mais seul le site de La Rochelle a été purgé, ajoute-t-elle.
« C’est un comble que pour une fois qu’il y avait de l’argent on n’ait rien fait », s’indigne Charlotte Nithart. « Les communes ne sont pas toujours favorables à ce que les fantômes du passé réapparaissent », explique-t-elle, évoquant l’impact négatif sur le tourisme local de chantiers de déblaiement sur les plages.
Robin des Bois demande au ministère de l’Ecologie d’entreprendre en 2008 et 2009 « ce qui n’a pas été initié par le ministère de l’Environnement en 2000 et 2001 », indique le communiqué. « Au titre de la prévention des risques, les élus bretons doivent faciliter et encourager les investigations », ajoute-t-il.
L’association a porté plainte contre X le 18 mars 2007 pour abandon de déchets et délit de pollution des eaux, rappelle-t-elle.

Pour en savoir plus, consultez la carte des sites pollués réalisée par l’association Robin des bois

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