« A sa création en 2005 l’observatoire était axé sur le diagnostic du tissu local et l’analyse prospective. En 2010, nous avons recruté un agent dédié à la fiscalité car nous pressentions le désengagement de l’Etat et la nécessité de se donner les moyens de mieux connaître notre territoire et notre matière fiscale et de l’optimiser », souligne Caroline Hénaux, à l’origine de l’observatoire et aujourd’hui responsable du service mutualisé recettes.
Analyser et corriger le tissu fiscal – A partir de 2011, l’acquisition d’un logiciel permet d’exploiter l’ensemble des informations disponibles dans les rôles et les fichiers cadastraux numérisés de la DGFIP.
« Nous avons ainsi pu procéder à une analyse approfondie du tissu fiscal, détecter des anomalies et les corriger afin d’introduire plus d’équité entre les contribuables », indique Eloïse Morales, responsable de l’observatoire fiscal.
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