Quelle que soit la taille des collectivités, la fin des contrats aidés est une mauvaise nouvelle car le contexte budgétaire ne permet pas de compenser ces départs par le recrutement d’agents. Tout autant que la suppression, c’est l’information tardive et inattendue qui concentre la colère des élus.
Impact financier et organisationnel
« Un seul contrat aidé, ce n’est pas énorme, mais pour les petites communes avec très peu d’agents, c’est beaucoup. » Philippe Rappeneau, maire (PS) de Douzens (Aude, 780 hab.) ne cache pas que « l’annonce brutale en plein été a nécessité de faire revenir de vacances toutes les personnes, sans quoi on ne pouvait pas assurer la rentrée. »
Les enseignants avaient voté le maintien de la semaine de 4,5 jours et la ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes, Club Finances, Club Santé Social
Thèmes abordés