Et si la préservation des couples était une réponse à la précarité et à la crise du logement ? C’est ce que pense Olivier Lebrun, maire (divers droite) de Viroflay. L’élu, lui-même formé à la thérapie de couple, ne prétend pas détenir une solution miracle. Mais il estime que la question mérite d’être explorée.
« Tout est parti du constat que les séparations engendrent une pression sur les services sociaux et les demandes de logement dans un contexte de crise majeure, explique-t-il. Il y a une conséquence financière pour les familles, mais aussi pour les collectivités, même si je reconnais que c’est difficilement chiffrable au niveau local… »
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