La circulaire signée le 25 juillet par le premier ministre avait le mérite d’être claire : « Certaines messageries commerciales dites sécurisées sont sous l’influence de pays étrangers, qui sont susceptibles de mettre en œuvre des mesures techniques ou juridiques pour accéder aux communications échangées. Ces risques sont couverts par la mise en place d’une solution de messagerie instantanée sécurisée, accessible à tous les agents publics, Tchap ».
Là où les choses s’obscurcissent, c’est dans la définition « d’agents publics ». À qui s’adresse cette note ? Qui doit utiliser Tchap, expérimenté par des collectivités depuis 2021 ?
« J’ai dû demander à l’Agence nationale de la cohésion des territoires, car ce n’était pas clair », abonde Emmanuel Vivé, président de la fédération des opérateurs ...
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Gazette des Communes
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