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Développement local

Quand les centres-villes font la part belle aux halles alimentaires

Publié le 02/09/2025 • Par Nathalie Da Cruz • dans : Innovations et Territoires, Régions

Gourmet food sold at Les Halles de Lyon Paul Bocuse, built in 19
EnginKorkmaz – Adobestock
Créer des halles alimentaires, ouvertes plusieurs jours par semaine, donne un attrait aux cœurs de ville de manière pérenne. Elles attirent les habitants et les touristes en centre-ville et peuvent rééquilibrer les flux vers les commerces de périphérie. Des halles où l’on peut acheter des produits bruts, mais aussi des mets cuisinés à manger sur place, avec, parfois, des événements festifs, engendrent la convivialité.

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Des projets à Annecy, une grande rénovation programmée à Bayonne et déjà réalisée à Limoges, des ouvertures à Dax, Cahors… Les halles alimentaires, ou halles gourmandes, ont le vent en poupe.

De quoi parle-t-on ? Il s’agit de halles qui regroupent des maraîchers, bouchers, charcutiers, poissonniers, etc., et quelques bars et restaurants proposant de manger sur place. Annecy (131 300 hab.) prévoit d’en ouvrir dans son grand projet de réhabilitation des anciens haras ; les halles seront gérées par Biltoki, enseigne privée qui, comme le groupe Géraud, s’est spécialisée dans la gestion de ce type de lieux.

Diversité d’étaliers

Le principe ? « Idéalement, il ne faut pas qu’il y ait uniquement des restaurants à l’intérieur ; il importe que soient aussi présents des producteurs et artisans qui vendent des produits bruts comme au marché, mais aussi des produits cuisinés que l’on peut manger sur place », estime Pierre Creuzet, directeur et fondateur de l’association Centre-Ville en mouvement. Ce qui distingue les halles ­alimentaires des marchés, c’est qu’elles sont ouvertes plusieurs jours par semaine.

  • Les marchés et les halles sortent le grand jeu

Ainsi, à Dax ...

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