A 58 ans, vous venez d’être élu président de la FNCCR. Comment se passe cette transition et quelles sont vos ambitions pour la fédération ?
C’est une succession tout en douceur, car je suis vice-président depuis 17 ans et porte-parole de la fédération depuis 5 ans. Ma candidature a fait consensus et j’ai été élu à l’unanimité. Concernant la FNCCR, j’estime que le volet compétences (électricité, gaz, chaleur, eau potable, assainissement des eaux usées, numérique, déchets, économie circulaire, mobilité décarbonée) est suffisamment développé. Mon objectif est d’une part de renforcer la proximité avec les adhérents et d’autre part avec les institutions. Je souhaite donner une meilleure visibilité à la fédération pour qu’elle devienne incontournable et exercer un lobbying plus fort auprès des ...
[70% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Techni.Cités
Thèmes abordés