« Tout élu de Saint-Briac-sur-Mer sait qu’il doit compter sur les résidents secondaires pour se faire élire », lance Gilles Lurton, maire (divers droite) de la commune voisine de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine). Et pour cause, à Saint-Briac, on trouve 66% de résidences secondaires parmi lesquelles environ 30% des résidents sont inscrit sur les listes électorales de la ville. « C’est un poids important qui peut faire pencher la balance », reconnaît le maire Philippe Fourneyron (sans étiquette).
Sa ville illustre un phénomène difficile à quantifier mais pourtant bien réel : plus il y a de résidences secondaires, plus la probabilité de sur-inscription est forte. Cela concernerait principalement les villes de montagne et littorales.
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