Gagnant et content ! Au regard du bilan dressé par le conseil départemental de Seine-Saint-Denis sur la recentralisation du revenu de solidarité active (RSA), trois ans après le début de l’expérimentation, nombre de départements pourraient avoir envie de rendre à l’État la gestion de cette allocation dont le reste à charge peut plomber leurs finances. Deux autres départements ont participé à cette expérimentation : les Pyrénées-Orientales et l’Ariège.
Sur le reste à charge, la situation de la Seine-Saint-Denis n’a pas varié d’un euro : « Avec 249 M€, le reste à charge est le second plus important de métropole, après le Nord », assurent d’une même voix Luc Lambert, directeur général adjoint (DGA) du pôle solidarités et Anne-Sophie Casteigt, directrice insertion, économie sociale et ...
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