Un effet de ciseaux entre des recettes en diminution et des coûts au mieux stables, mais souvent en augmentation, c’est le constat du rapport d’Ibicity, Espelia et Partie Prenante, publié il y a deux ans, sur « le modèle économique des services urbains au défi de la sobriété ».
« Alors que la consommation d’eau ou le volume de déchets produits diminue sous l’effet conjugué de l’évolution des usages, de la raréfaction des ressources et de la réglementation, les contrats de concession hérités du contexte des Trente Glorieuses sont basés sur une hypothèse d’abondance des ressources et de croissance de la consommation », résume Nicolas Rio, co-fondateur de l’agence Partie Prenante, lors d’un webinaire organisé le 1er octobre dernier.
Des recettes en ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Finances
Thèmes abordés
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Finances
Thèmes abordés