Pas de miracle pour les transports. Dans le droit fil des lettres plafonds du gouvernement de Gabriel Attal, l’équipe de Michel Barnier a diminué d’1,8 % les crédits alloués au secteur. Ces fonds ne dépasseront pas 8,3 milliards d’euros en 2025.
Principale victime de ce plan de rigueur ? L’Agence française d’infrastructure des transports, dont la manne va fondre de 3,5 à 2,7 milliards d’euros en 2025, si le PLF est voté en l’état.
Les crédits accordés au verdissement de la flotte automobile sont aussi en chute libre dans le projet de loi de finances. Ils diminuent d’1,5 à 1 milliard. Pour Bercy, l’électrification des voitures est déjà bien avancée.
Rien ne sert, désormais, de la booster avec de l’argent public, décrète le ministère du Budget et des Comptes publics, au moment où se ...
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Gazette des Communes
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