Un ascenseur émotionnel. C’est ce que semblent vivre les élus et les professionnels des quartiers populaires à l’occasion des élections législatives. Au lendemain du second tour qui a vu l’extrême-droite arriver non plus en tête comme au premier tour, mais troisième force après les blocs du Nouveau Front populaire et de la majorité présidentielle, c’est un « soulagement » qu’exprime Damien Allouch, maire socialiste d’Epinay-sous-Sénart et secrétaire général de l’association des maires Ville et banlieue : « En cas de majorité du Rassemblement national , il y avait clairement des risques pour la politique de la ville, que ce soit pour les réseaux d’éducation prioritaire, pour le calcul de la dotation de solidarité urbaine, voire pour la rénovation urbaine, commente-t-il. Nous étions ...
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Gazette des Communes
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