Comment aborder l’adaptation des villes patrimoniales ?
La première première préconisation la plus évidente est de construire des ilots de fraicheur. Ce qui n’est pas facile en zone patrimoniale. Si l’on fait une coupe d’une rue ancienne, on se rend compte que son sous-sol est parcouru de canalisations (contemporaines et antiques), de vestiges, de caves qui débordent. Difficile, a priori, d’y planter des arbres.
Il faut pourtant démythifier ces obstacles qui ne sont pas rédhibitoires. En rappelant, par exemple, que dans les ruelles d’une ville patrimoniale, on peut préférer les plantes grimpantes à feuilles caduques (1) aux arbres. Leur système racinaire est économe en place et, en couvrant, les façades, elles contribuent au rafraîchissement intérieur ou des ruelles, quand elles les ...
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Gazette des Communes
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