Réduire la voilure, serrer la ceinture ou les boulons ! Les formules ne manquent pas pour décrire l’état d’esprit des départements face à la baisse des droits de mutation à titre onéreux (DMTO). Même ceux qui ont mis une partie de ces recettes en réserve après la très bonne année 2022 ne peuvent combler le double abîme causé par la baisse des DMTO et la hausse des charges de personnels et des dépenses sociales. Les politiques non obligatoires et les investissements en feront les frais.
« Département rural, ni littoral ni montagne, pas beaucoup de constructions, pas de reprise économique », la Meuse (180 000 hab.) « n’a rien mis de côté car des DMTO, on n’en a jamais eu beaucoup, explique le président , Jérôme Dumont. En 2022, ils représentaient 11 % de notre budget mais le rythme de ...
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