Lorsqu’il a appris qu’il était en lice pour le titre de meilleur maire du monde, François Asensi, maire (DVG) de Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis), a d’abord été étonné. « Il y a des milliers de maires dans le monde, pourquoi moi ? » raconte-t-il à « La Gazette », précisant « ne pas accorder de grand crédit à ce genre de concours ».
Mais quand même, « après trente-deux ans d’activité, c’est un peu la cerise sur le gâteau, avoue-t-il. Les habitants en parlent beaucoup, ils sont fiers, on ne va donc pas bouder cette initiative ».
Tous les deux ans depuis 2004, la City Mayors Foundation décide d’attribuer ce prix honorifique à une cause bien précise. Après la crise des réfugiés, la sous-représentation des femmes dans les instances politiques locales et la crise ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes
Thèmes abordés