Dédiés à la création, la production et à la diffusion musicales, les salles de musiques actuelles voient leurs recettes propres complétées par des subventions de l’Etat et des collectivités pour accomplir des missions de service public culturel (attention portée à l’émergence artistique et aux pratiques des professionnels et des amateurs, éducation musicale notamment).
Alors que beaucoup d’équipements sont en pleine déroute financière, les professionnels ne cachent pas que leur pérennité dépend de leurs recettes et des moyens que le gouvernement est prêt à consacrer à ce label. « L’année dernière, avec le reliquat des aides liées au covid et une inflation moindre, la situation était supportable, commente Aurélie Hannedouche, déléguée générale du Syndicat des musiques actuelles (SMA) ...
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