A Montpellier, on ne veut pas d’une intelligence artificielle (IA) « subie » mais « choisie ». Deux mois après avoir interdit « à titre conservatoire » l’utilisation de ChatGPT à ses agents et partenaires, la ville et la métropole se sont engagées dans le développement d’une IA « souveraine, responsable et éthique ».
Fin mai, le maire-président de la métropole, Michaël Delafosse a annoncé devant élus, chercheurs et entrepreneurs locaux le lancement d’une convention citoyenne sur l’intelligence artificielle à l’automne. « Cela devrait être du ressort du président de la République. Nous, on prend notre part à l’échelle territoriale », confie Manu Reynaud, adjoint au maire en charge du Numérique. Le but ? « Mesurer l’acceptabilité de ce type de technologie dans le cadre du service public et ...
[70% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes
Cet article est en relation avec le dossier
Thèmes abordés
Régions