« Puisque c’est l’heure des réquisitions, on doit peut-être réquisitionner des hôtels, des bureaux et des logements vides ! », s’est emporté Rodrigo Arenas, député (LFI-NUPES) de Paris, lors de la conférence de presse organisée le 17 octobre par quatre associations, dont le Collectif des associations unies (CAU), au sein de l’Assemblée nationale, en présence de militants, de personnes accompagnées et de députés.
Une suppression attendue mais pas bienvenue
Le projet de loi de finances pour 2023 prévoit en effet la suppression de 14 000 places. Cela n’est pas une vraie surprise. En effet, lors du premier quinquennat d’Emmanuel Macron, le parc de l’hébergement d’urgence a été porté à un chiffre sans précédant, 200 000 places, dont 40 000 ouvertes dans le cadre de la crise sanitaire, entre 2020 ...
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Gazette des Communes, Club Santé Social
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