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Aménagement urbain

« Les dark stores nuisent à l’animation urbaine des quartiers »

Publié le 22/02/2022 • Par Alexandre Léchenet • dans : France

Apur dark stores
D.R.
François Mohrt et Stéphanie Jankel ont réalisé, pour l'Atelier d'urbanisme de la ville de Paris (Apur), une étude sur le déploiement, à Paris et en proche banlieue, des opérateurs de livraison rapide. L'étude montre qu'ils s'installent dans les zones densément peuplées, en concurrence directe avec les épiceries de quartier.

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Moins d’un an après l’arrivée des opérateurs de livraison rapide, l’Apur a réalisé une photographie complète et détaillée de leur implantation, inspectant aussi « dark kitchen » et autres « drive piétons ». Une arrivée, notent les auteurs, qui « n’est pas sans rappeler l’affrontement que s’étaient livré à Paris, dans un premier temps, les acteurs de vélos en libre-service à partir de 2017 et, dans un second temps, les opérateurs de trottinettes électroniques en 2019 ».

  • La dark city ou le risque d’une ville sans vitrines

Pour Paris et sa proche banlieue, les auteurs comptabilisent « en janvier 2022, plus de 80 dark stores appartenant à une dizaine d’enseignes recensés sur le territoire parisien et ...

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« Les dark stores nuisent à l’animation urbaine des quartiers »

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HERMES

23/02/2022 10h47

La conclusion est intéressante. mais on peut aussi se demander si ces activités ne répondent pas aux nouvelles exigences d’une certaine population.
En effet, comme la vente à perte est interdite (heureusement sinon l’appliquer sur une longue période serait contraire à l’esprit du commerce), il faut bien que des clients (nombreux au vu des surfaces présentées dans l’article – le loyer doit être conséquent pour 100 m2 à Paris) achètent pour couvrir ces charges.

En un mot, on peut bien vouloir réglementer pour éviter les disfonctionnements mais au terme c’est en pure perte. J’ai en tête le cas de la Suisse (je ne sais plus si tel est encore le cas dans ce pays).
Il y a quelques années, les magasins devaient fermer à partir du début d’après-midi du samedi jusqu’au lundi matin. De nombreux magasins se sont développés à Annemasse permettant aux genevois de venir faire leurs emplètes durant ces horaires.

Ne vaudrait-il pas mieux revenir aux fondamentaux qui sont avant tout la formation et l’information depuis le plus jeune âge. J’ai en mémoire qu’en classe primaire, chaque matin les élèves avaient droit à un cours d’instruction civique. En fait, le maître ou la maîtresse (comme on disait à l’époque) inscrivait une phrase au tableau et la commentait. Eh bien aussi bizarre que cela puisse paraître j’ai gardé un très bon souvenir de ces cours d’instruction civique.
Mais il est vrai qu’à cette époque, même la télévision couleur n’existait pas!

Allé, soyons optimistes étant donné que la vie n’est qu’un éternel recommencement! On n’est d’ailleurs plus très loin de cette époque puisque je vois revenir les pantalons à pattes d’éléphant!

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