S’il pouvait ne s’y trouver que sable ou galet, l’entretien des plages allégerait le poids des finances des collectivités. Car qu’il s’agisse de déchets d’usage ou marins, la facture est lourde pour communes ou intercommunalités, dès qu’elles veulent conserver leur label de propreté, ou qu’elles ambitionnent, plus simplement, de proposer un espace propre aux habitants et touristes. D’autant que l’opération ne se limite pas aux seuls mois d’été.
Une obligation de qualité
Avec « 2 km de plages urbaines et des plages naturelles » Valras-Plage (Hérault, 4300 hab.) subit des incivilités au quotidien avec « résidus, mégots et autres qui ne sont pas jetés à la corbeille », déplore Frédéric Gerbier, directeur général des services. « Avec le label Pavillon bleu, nous avons une obligation de ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes, Club Finances
Thèmes abordés