Les écologistes espèrent qu’avec l’urgence climatique, leur tour est venu et qu’au chapitre de l’environnement, les questions liées aux transports sont primordiales. Mais l’évidence de l’urgence climatique s’est imposée à l’agenda de tous les candidats au scrutin des 20 et 27 juin. « La mobilité, ça n’appartient à personne », résume Marc Fesneau, tête de liste LREM-Modem en Centre Val-de-Loire. D’autant que c’est le principal poste des dépenses des régions qui y ont consacré près de 11 milliards d’euros en 2020, soit un quart de leur budget.
Si tous les candidats dédient une partie de leur programme aux transports, comment se différencier alors ? Certainement pas avec l’incontournable argument des « mobilités douces » ou « partagées », vélo et covoiturage en tête. Non, c’est le volet ...
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Gazette des Communes
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