Etre débarqué par « son » élu alors qu’on n’a pas démérité, c’est sûrement le pire scénario pour un directeur général (DG) de collectivité. « Il faut accepter que les élus puissent avoir envie de relancer la machine en changeant la tête de leur administration », souligne Arnaud Lecourt, vice-président de l’Association des directeurs généraux de France (ADGCF), lui-même directeur général des services (DGS) de Dinan agglomération (64 communes, 550 agents, 98 000 hab., Côtes-d’Armor).
Si certains DG seront sacrifiés sur l’autel du « nouveau souffle »,
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Gazette des Communes
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