«La safe city n’est pas la ville sécuritaire qui surveille. C’est une ville en capacité d’établir une alliance entre les hommes et les nouvelles technologies au service des politiques publiques. » A Marseille (862 200 hab.), l’adjointe (LR) au maire déléguée à la sécurité, Caroline Pozmentier, dessine les contours du tout récent observatoire big data de la tranquillité publique. Cette plateforme dédiée au croisement des données « pour rendre la politique de sécurité plus efficiente » a été développée par Engie pour 1,8 million d’euros.
A l’instar de la cité phocéenne, de nombreuses villes investissent pour se doter d’équipements dits « intelligents », en partenariat avec de grands groupes français et étrangers, mais également de jeunes pousses. Les coûts sont de fait très variables ...
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Ville du futur, ville sûre : la surveillance
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