La reconnaissance faciale s’invite ces derniers mois dans différentes sphères du débat public : pour accéder à certains services publics, via Alicem, ou comme le souhaitent certains industriels, pour surveiller l’espace public dans le cadre des prochains Jeux Olympiques.Dans un entretien au Parisien, paru le 24 décembre, le secrétaire d’Etat au Numérique, Cédric O prend position et exprime le souhait de lancer une expérimentation en temps réel sur des images de vidéosurveillance. Cette phase devrait durer de six mois à un an, « sous la supervision de la société civile et de chercheurs », précise-t-il, admettant au passage que le dispositif comporte « de toute évidence des avantages, et des opportunités, mais aussi un certain nombre de risques pour ...
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Gazette des Communes, Club Prévention-Sécurité
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Faut-il surveiller la safe city ?
Sommaire du dossier
- La smart city est-elle autoritaire ?
- Quelle régulation pour encadrer la reconnaissance faciale ?
- Les Français ont-ils confiance en la reconnaissance faciale ?
- « Le cadre juridique de la reconnaissance faciale n’est pas suffisamment adapté »
- Nouvelles technologies : quand les villes deviennent des laboratoires à ciel ouvert
- « Les caméras intelligentes ne régleront pas le problème de neutralité »
- La safe city, cible de choix pour les cyberattaques
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