Comment définiriez-vous le mouvement de collaborations entre collectivités dans l’énergie ?
Il est très différent d’un territoire à l’autre. Il existe des formes de mutualisation anciennes et de nouvelles impulsions, par exemple les contrats de réciprocité ville-campagne. On observe parfois un projet commun, parfois une volonté de construire ensemble une véritable stratégie. Tout dépend de son profil et de ses besoins. Bordeaux métropole ou le Grand Reims sont, par exemple, moins denses qu’on pourrait l’imaginer, avec une périphérie assez rurale prête à accueillir des projets d’énergie renouvelable. A Paris, en revanche, impossible de se fixer un objectif de 100 % d’énergies renouvelables sans s’appuyer sur d’autres collectivités, même ...
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Gazette des Communes
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