Une rocade sous-dimensionnée, peu de solutions de transports performantes pour faire concurrence à la voiture dans les zones périurbaines, une saturation du réseau de transports en commun de la métropole (TBM) en raison d’une forte hausse de la fréquentation (+30% depuis 2015). Fin 2017, la grogne était palpable à Bordeaux qui restait la 3ème agglomération la plus embouteillée de France. C’est dans ce contexte qu’Alain Juppé a demandé, fin 2017, la mise en œuvre d’un plan d’urgence 2018-2020. Il a été adopté en avril dernier pour un montant global de 780 millions d’euros.
« L’objectif n’était ni de remettre à plat la stratégie métropolitaine des mobilités, ni de redessiner le schéma directeur opérationnel des déplacements métropolitains, mais de mettre en œuvre et de rendre visibles ...
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Gazette des Communes, Club Techni.Cités
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