«Il s’agit d’un œuvre collective, portée par tous les acteurs locaux», estime Catherine Trautmann.
L’adhésion des milieux économiques a été confirmée par Pierre-Etienne Bindschedler, patron de Soprema et président du pôle de compétitivité Energivie, ainsi que par le président de la CCI de Strasbourg, Jean-Luc Heimburger, lors de la conférence de presse de présentation. «Cette marque représente un investissement dans un certain état d’esprit. C’est une incitation à ce que nous soyons tous très bons. A nous de donner un avenir à l’histoire de Strasbourg », a-t-il déclaré.
Coût de 23.760 euros sur la 1ère phase
L’université de Strasbourg est également partie prenante et Alain Beretz, son président, rappelle que les universités les plus proches de Strasbourg sont celles de Karlsruhe et Fribourg, deux villes allemandes, ce qui démontre bien l’implication européenne de la ville. « Nous présentons notre marque et nos projets au MIPIM de Cannes conjointement avec nos partenaires allemands de l’Eurodistrict », ajoute Jacques Bigot, président de la communauté urbaine de Strasbourg.
«Cette première phase, d’un coût de 23.760 euros, s’inscrit dans notre projet économique, élaboré avec nos partenaires consulaires et les entrepreneurs », insiste Catherine Trautmann.
Jean-Luc Heimburger voit dans cette dépense et celles qui vont suivre pour la création du logo, charte graphique, etc., «un investissement d’avenir».
Reste maintenant à faire en sorte que cette marque soit appropriée par tous ses utilisateurs potentiels du monde économie, universitaire, pôles de compétitivité, etc.
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