Penser au GIP comme outil de coopération
Longtemps tenu à distance par les collectivités, le groupement d’intérêt public (GIP) connaît un intérêt grandissant comme outil de coopération, notamment entre secteurs public et privé. Plusieurs facteurs expliquent cette tendance.
Depuis l’entrée en vigueur de la loi n° 2011-525 du 17 mai 2011, la création des GIP peut intervenir pour tout projet d’intérêt général à but non lucratif ; celle-ci n’est donc plus cantonnée à des domaines définis et à la poursuite de buts déterminés.
Parallèlement, le GIP profite du « déclin » de certains modes de coopération. En particulier, le recours par les collectivités à l’outil associatif apparaît de plus en plus marginalisé en raison des risques de requalification en association ...
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Gazette des Communes
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