La circulaire détaillant les modalités de la contractualisation entre l’Etat et les collectivités limite l’augmentation des dépenses de fonctionnement à 1,2 %. Une contrainte qui passe par une remise à plat de tous les postes qui la composent. Les frais financiers, qui représentent jusqu’à 4 % de ces dépenses, peuvent, dans certains cas, être une variable d’ajustement. Le 16 février dernier, lors de son conseil métropolitain, Nantes Métropole a par exemple constaté une progression de ses dépenses de fonctionnement – hors frais financiers – de 1,89 %. Mais en intégrant ces frais, la hausse n’était que de 1,13 %. Pari gagné.
Car les frais financiers de la collectivité ont diminué de près de 20 %. Un effet d’aubaine ? Nantes Métropole récolte les fruits de plusieurs années ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Finances
Thèmes abordés