Confrontée, comme nombre de villes moyennes, à une érosion légère mais constante de la fréquentation de son centre et de l’occupation de ses surfaces commerciales, Limoges a lancé un programme global pour repenser l’urbain à l’aune des pratiques actuelles.
Plan de circulation, services et conditions d’accueil, mais aussi mise en place d’actions commerciales originales mêlant les partenariats commerciaux et culturels : elle entend stopper l’hémorragie et réamorcer le mouvement du développement.
« L’hyper-centre de Limoges a souffert du développement de ses zones commerciales périphériques, affirme Sarah Gentil, l’adjointe (LR) chargée du commerce et de l’artisanat. Mais on observe aussi un vrai mouvement de reconquête des centres-villes par une jeune génération de trentenaires à la recherche d’autonomie et d’un mode de vie urbain offrant services et commerces de proximité : ils privilégient les mobilités douces et veulent trouver dans leur quartier médecins, banques, enseignes réputées ...
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Gazette des Communes
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