Si, en zone euro, la période estivale s’est faite porteuse d’une bonne nouvelle – une croissance de 1% au deuxième trimestre – c’est bien plus l’essoufflement de la reprise aux Etats-Unis qui a focalisé l’attention des marchés.
Porteurs de son lot d’incertitudes, les nombreux signaux de ralentissement de l’activité de la première économie mondiale ont vu les investisseurs rechercher massivement la sécurité, voyant les rendements des emprunts français, allemands, américains enfoncer des plus bas historiques mais voyant aussi la volatilité des monnaies augmenter…
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