Le collectif d’associations toulousain, regroupant les victimes de l’explosion de l’usine chimique AZF ont écrit à Jacques Chirac pour demander des « mesures avant l’été » et notamment « la fermeture définitive du site chimique , le déplacement immédiat des usines SNPE et Tolochimie dans des zones sans habitat à proximité ». Depuis le 28 mars dernier, rien n’a bougé. A cette date le comité départemental d’hygiène, un organisme consultatif, a donné l’aval à la reprise sécurisée des deux plus petites entités industrielles du site, Isochem et Raisio.
Laurence Lafosse
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