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Sécurité

Polémiques et désenchantement policiers sur fond de violences urbaines

Publié le 02/11/2006 • Par La Rédaction • dans : France

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La base policière, sous pression dans les banlieues, manifeste un certain désenchantement à l’égard du ministre de l’intérieur alors que des polémiques entourent des interventions des forces de l’ordre dans des quartiers sensibles un an après les émeutes de 2005.
Un responsable régional d’Alliance (1er syndicat de gardiens de la paix), Yves Louis, a clairement demandé, la semaine dernière au cours d’un meeting, au « ministre-candidat » Nicolas Sarkozy de « quitter ses fonctions » et de « se consacrer à ses ambitions personnelles ».
S’en sont suivies de vives discussions au sein des syndicats de police, en pleine compétition avant les élections professionnelles de novembre.
Selon plusieurs sources syndicales policières, M. Louis a résumé le « sentiment de plusieurs policiers de base confrontés à des violences urbaines et des agressions ».
Des révélations de présumés dysfonctionnements internes sont venues alourdir le climat.
Des gendarmes de Grenoble (Isère), agissant sur commission rogatoire d’un magistrat, ont affirmé n’avoir pu effectuer, le 21 octobre, à quelques jours de l’anniversaire des émeutes, une perquisition au domicile d’un présumé trafiquant dans une zone sensible du Nord de la France.
Sur le procès-verbal, reproduit le 2 novembre dans Le Parisien, ils disent avoir appris par leur « hiérarchie » que le préfet n’autorisait « pas les opérations de police dans ce secteur actuellement, pour des raisons d’ordre public ».
Alors que les gendarmes ont été démentis par le commandement de la gendarmerie, Nicolas Sarkozy a demandé au préfet du Nord de « mettre en place tous les moyens » nécessaires à l’intervention des enquêteurs.
Cette affaire est révélée après que le « patron » de la police de Seine-et-Marne, Jean-Claude Menault, eut décidé pour sa part de relâcher le 28 octobre une soixantaine de personnes interpellées après des dégradations de véhicules.
Cette décision a suscité le 1er novembre la colère de plusieurs syndicats de police qui ont réclamé une enquête interne.
Beaucoup observent cependant que « Sarko I (sous son premier ministère), qui a beaucoup réformé et s’est beaucoup déplacé sur le terrain, ce n’est pas du tout Sarko II », aux regards fixés sur l’horizon de la présidentielle.

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