«Le reproche commun, c’est que l’Ugap est trop cher », résume Jean-Luc Sallaberry, chef du département numérique à la FNCCR. Conséquence : des offres alternatives ont vu le jour depuis deux ans. D’autant qu’à ce constat économique, un rapport d’une commission d’enquête du Sénat, paru le 8 juillet, ajoute l’absence d’information, notamment en matière de souveraineté, un sujet de plus en plus sensible : « L’Ugap assure une simple intermédiation entre l’offre et la demande de solutions étrangères », précise le rapport, ajoutant que le président de la centrale d’achat reconnaît lui-même devoir mieux conseiller ses clients au sujet de l’éventuel assujettissement des logiciels au droit étranger. Les rapporteurs indiquent également qu’il est nécessaire « d’assigner aux centrales d’achat ...
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Gazette des Communes
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