L'hôtel de préfecture des Yvelines, siège de la préfecture et du conseil départemental des Yvelines. Thomas Launois - Adobe Stock
Avec des recettes en recul inédit et des charges sociales en hausse vertigineuse, les départements ont dû réagir rapidement et drastiquement. Exemple avec les Yvelines qui, avec des droits de mutations divisés par deux en 2 ans, a dû mettre en place un plan de sobriété et réorganiser la direction des finances.Deuxième épisode sur trois de notre série de l'été sur le contrôle interne.
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« Face à la grande inquiétude qui est la nôtre, nous sommes engagés dans un plan d’économies drastiques pour réduire nos dépenses. Deux tiers de nos investissements sont désormais financés par la dette. » En tenant ses propos à La Gazette des communes en février dernier, le directeur général des services du département des Yvelines (1,5 millions hab., 259 communes, 4000 agents) résumait en une phrase le plan de sobriété que s’est imposé la collectivité depuis début 2023. Pour Alexandre Borotra, en effet, la division par deux des droits de mutation (DMTO) -passés de 465 millions d’euros en 2022 à 262 millions en 2024- justifiait de compresser les dépenses. Et il ignorait encore que les 19 millions d’euros de dotation globale de fonctionnement (DGF) -contre 145 millions en 2014- seraient ...
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Le département des Yvelines à l’heure du plan de sobriété financière
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