Avec 4 500 kilomètres carrés de surface totale, les bords de routes, encore appelés « dépendances vertes », longent plus d’un million de kilomètres de réseau routier. Les méthodes traditionnelles d’entretien peuvent exacerber certains risques, comme l’érosion des sols, l’expansion des plantes invasives, ou augmenter le risque d’inondation par ruissellement, la pollution des cours d’eau et des nappes, etc. « La culture “route” est toujours forte. Si l’on veut en sortir, il faut placer sur les postes de gestion des dépendances vertes des agents qui ont une sensibilité à l’environnement, constate Frédérique Morin, référente de la gestion durable des dépendances vertes et bleues au département des Côtes-d’Armor. Car on a une large marge de progression. »
Refuges et corridors ...
[90% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes
Thèmes abordés
[90% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes
Thèmes abordés