« Nous n’allons pas rester sans bouger face à l’Etat, alors que le déficit public s’élève à quelque 80 milliards d’euros par an », a déclaré mercredi 1er février le président de l’Association des maires de France Jacques Pélissard. « A condition toutefois que l’Etat nous informe de ses projets, et nous demande notre avis », a-t-il également martelé.
Or, sur cette question, les maires de France estiment que l’on est très loin du compte. Les exemples d’une relation Etat-collectivités marquée par le mépris du premier à l’endroit des seconds sont effectivement légion.
Le premier maire de France n’a pas manqué d’en égrainer la liste, alors que les associations d’élus locaux s’apprêtent à répondre à la convocation de Nicolas Sarkozy en vue de les associer davantage à la réduction des ...
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