Les multiples facteurs qui ont conduit à la crise profonde que traversent les festivals sont désormais bien identifiés. Augmentation des coûts de sécurité, de gestion de l’émergence sonore, d’assurance, des éco-conditionnalités, hausse des cachets des artistes, ou concurrence des grands groupes et des grandes salles type « Arena », expliquent que la moitié des festivals soient dans le rouge à l’issue de la saison 2024, malgré une fréquentation satisfaisante.
Certains ont dû annuler leurs éditions 2024 ou 2025, réduire leur durée, ou passer en rythme bisannuel, comme l’a expliqué Jean-Baptiste Gourdin, président du Centre national de la musique (CNM), lors d’une table ronde sur l’avenir des festivals, organisée le 9 avril par la commission des affaires culturelles de ...
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