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Mayotte, la vie d'après (3/5)

La pression foncière, un frein pour la construction de logements à Mayotte

Publié le 12/03/2025 • Par Pierre Garcia • dans : France

Bindonville de Bandrajou, le 8 février 2025
Bindonville de Bandrajou, le 8 février 2025 PG / La Gazette des Communes
Le 14 décembre, Mayotte a été balayée par le cyclone Chido. Trois mois plus tard, notre envoyé spécial s’est rendu sur place pour constater les dommages et parler reconstruction avec les acteurs locaux. Cette semaine, La Gazette des Communes vous propose chaque jour un éclairage sur cinq défis pour l’avenir de Mayotte. Troisième volet : le logement.

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Mayotte, la vie d'après

Chido a laissé derrière lui un paysage de désolation. Bâtiments éventrés ou tout simplement écroulés, toits envolés… À l’heure de la reconstruction, l’évaluation totale des dégâts reste à affiner, même si le préfet de Mayotte, François-Xavier Bieuville, évoque déjà 60 000 maisons individuelles détruites – de l’habitat informel, mais pas seulement – et 90 % de structures publiques touchées.

Si les écoles ont été très durement impactées, elles ne sont pas les seules, comme en témoigne l’état du poste de police municipal ou du de Mamoudzou, balayé par le vent et la pluie. « Trois de nos structures sont aujourd’hui hors d’usage, à Mamoudzou, Koungou et Kahani », complète Saïd Salim, président du CCAS de ­Dzaoudzi-Labattoir sur Petite-Terre, à la tête de l’union départementale des CCAS de ...

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