Dans les métropoles comme ailleurs, les incertitudes liées à un PLF (projet de loi de finances) sans cesse repoussé aura grandement pesé sur la préparation budgétaire. « On en était presque à regretter les budgets bouclés sous les contraintes des baisses des dotations puis des contrats de Cahors, qui avaient au moins l’avantage d’être connues », lance le vice-président délégué aux finances de l’eurométropole de Metz Thierry Hory. A Grenoble Alpes Métropole, le vote du budget programmé au 4 avril a été repoussé de deux mois par rapport au calendrier habituel, tandis que la Métropole Rouen Normandie a adopté le sien en décembre sans connaître le détail des contributions qui lui seraient demandées par l’État.
Les Métropoles, ces pompiers de service
L’équation budgétaire est particulièrement ...
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