« Il y a toujours le risque que les préconisations ne soient pas prises en compte, mais nous n’avons pas vraiment vécu cela ici. » À Saint-Herblain (Loire-Atlantique, 50 000 hab.), Marine Lechevalier, chargée d’évaluation et Ludovic Joyeux, responsable de service, ne cachent pas que l’évaluation est « forcément un exercice délicat », mais qu’ils ont pour mission de faire reconnaître son importance.
« C’est un vrai levier de transformation des politiques publiques », ajoute-t-on. Seule direction rattachée au directeur général des services (DGS), l’évaluation travaille en binôme et compte 5 personnes en charge de l’évaluation et du contrôle de gestion. « C’est une volonté clairement exprimée de dépendre du DGS car notre service est vraiment structuré et ...
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